Quand on est mort on est mort
Suite et fin (finale)
La suite de ce texte, dûment composé et enregistré vient de disparaître de mon écran à la suite d’une « fausse manœuvre » dont mon subconscient n’est peut-être pas tout à fait innocent… Comme je ne suis qu’un modeste bricoleur qui a encore beaucoup à apprendre et que les continuelles mises à jour (trop souvent imposées par Word qui ne nous demande pas si cela peut nous aider…) peuvent venir nous « enduire » d’erreur dans la maîtrise de la machine, je renonce momentanément.
Je vais donc d’emblée improviser une suite qui aura peu de rapport avec ce qui était initialement prévu. Cependant elle continuera à montrer que la complexité humaine est telle qu’il est difficile de nous croire « mortels » de façon définitive et irrémédiable. De nombreux esprits distingués dans des civilisations plus orientales que la nôtre ont envisagé diverses hypothèses parmi lesquelles on peut choisir.
Leurs élites spirituelles ont, par exemple, compris ou cru comprendre qu’une seule vie était insuffisante pour permettre à tous de réintégrer la perfection initiale qui a précédé notre incarnation actuelle sur cette planète. Les caractéristiques de cette dernière étant sa lourdeur et son opacité matérielle. Bien entendu je n’aurai pas l’outrecuidance de vous expliquer mes vues strictement personnelles sur la question.
J’ai donc beaucoup lu et me suis renseigné sur les sources qui m’inspirent le plus confiance. Elles sont à l’opposé des vues actuelles de la science où tout repose sur les qualités physiques du cerveau et de ses petits neurones tricotant de la pensée pour finir par fabriquer de la « conscience » totalement aléatoire donc mortelle.
D’abord pour les orientaux nous n’avons pas un corps mais toute une série, emboîtés les uns dans les autres et de plus en plus subtils, jusqu’au sommet absolu qui, lui, échappe à toute limitation puisqu’il est la source de tout ce qui est.
Ensuite notre vie se déroule sur le plan physique et intellectuel, enrichi par les sensations qui n’ont rien à voir avec les rationalisations du mental. Enfin nous avons un subconscient qui contient tout ce que le conscient a oublié après la naissance. Devant la complexité du propos, je crois que je vais m’arrêter là en vous promettant de compléter dans un autre texte, si vous en êtes d’accord, bien entendu.
La Brosse Conge le 12 mai 2024
Copyright Christian Lepère
__________________________
____________________________